Aussi, en URSS, un poisson pêché sur six provenait de ce lac salé. Seule subsiste une espèce de raie importée et sélectionnée pour survivre à de tels taux de salinité. En 1960, les Soviétiques ont décidé de détourner une partie des fleuves pour irriguer les vastes steppes du Kazakhstan et de l’Ouzbékistan. Ses eaux s'écoulent alors dans la mer Caspienne par l'intermédiaire de l'Ouzboï ce qui permet sa colonisation par les poissons venus de la Caspienne[9]. Depuis 1971, une partie des eaux de l'Amou-Daria est orientée vers le Darjalyk, un ancien bras du fleuve menant vers le bassin du Sary Kamysh, un lac asséché qui a été ainsi reconstitué et plus récemment vers le lac de l'âge d'or. Il y a 50 ans la mer d’Aral (qui est en réalité un lac salé -1ere nouvelle-) etait le 4ème plus grand lac de la planète. Ouzbekistan. Cependant, d´après certains responsables kazakhs, il vaudrait mieux ne pas se réjouir trop tôt car la solution finale n´a pas encore été apportée. En effet ce barrage permit de barrer le détroit entre la Petite mer, aussi appelée Maloïé, ancienne mer bordière au nord de la mer d´Aral avant son assèchement, et la Grande mer (Bolchoïé, ce qui reste du sud de la grande mer). Après la dernière glaciation, la mer d'Aral s'est formée lorsque le Syr-Daria a commencé à remplir une dépression creusée par l'érosion éolienne. Mouïnak. Achevée en 1996, elle permit immédiatement d'éviter que les eaux du fleuve ne se perdent dans le delta entre la Petite et la Grande mer d´Aral afin de faire remonter le niveau de la Petite mer. Les reconstitutions paléogéographiques laissent penser que ce deuxième cheminement a été préféré entre -1800 et -1200 puis entre +100 et +500 et de 1200 à 1550 faisant pratiquement disparaître la mer d'Aral à ces périodes[12]. Sa surface s’étendait alors sur 67 300 km2, soit l’équivalent de deux fois la Belgique ! Mais en 50 ans, la mer d'Aral a perdu 90 % de son volume. Le Kazakhstan a construit son barrage de Kokaral sur la mer d’Aral en 2005. 175 : La mer d'Aral. Mais en 50 ans, la mer d'Aral a … La Mer d’Aral s’assèche mais la vie continue, même pour les poissons dont l’évolution s’accélère. Igor S. Zonn, M. Glantz, Aleksey N. Kosarev, Andrey G. Kostianoy. S'étendant entre les longitudes 56° et 78° est, et les latitudes 33° et 52° nord, ce vaste territoire coïncide géographiquement avec presque toute la zone de l'Asie centrale et comprend la totalité du territoire du Tadjikistan, de l'Ouzbékistan, la majeure partie du Turkménistan, trois provinces du Kirghizistan (Och, Djalal-Abad, Naryn), deux régions ou oblys méridionales du Kazakhstan (Kyzylorda, Kazakhstan-Méridional), quelques contrées septentrionales de l'Iran et de l'Afghanistan[15]. Trente années de monoculture forcenée du coton, le détournement de deux fleuves aux fins d’irrigation qui alimentaient la mer d’Aral … Située à cheval entre le Kazakhstan et l’Ouzbékistan avec une superficie de 67300 km², soit deux fois la superficie de la Belgique pour situer ! Un bœuf occupe, Dieu sait comment, le toit d’un immeuble. Il y a des transports en commun (bus) (3h30 de route) et des taxis privé qui coûtent entre environs 50 euros. Nous avons essayé de le faire en fonction de leur taille. Termes et ConditionsPolitique de Confidentialite (Mise à jour)Les CookiesGestion des consentementsGestion des cookies. Sur l’île de la Renaissance – dans la Grande Aral –, un laboratoire, où étaient conçues et étudiées des armes bactériologiques, a fonctionné jusqu’à … Le taux de salinité de la partie nord de la mer Aral a aussi baissé, favorisant de nouveau la vie aquatique. Une variation quotidienne était provoquée par le phénomène des seiches à longue période et pouvait atteindre des amplitudes de 20 cm à 1 m relevées à la station "Mer d'Aral" située au nord-est de l'étendue lacustre. Les rivages de la mer d’Aral en 1970 – Dmitry Karachun / TASS L’histoire de la mer d’Aral est étroitement liée à celle de l’armée soviétique. On y trouve l’Ouzbékistan au Sud et le Kazakhstan au Nord. En 1970, la mer d’Aral avait déjà perdu 9/10e de sa surface. On inaugure le canal de Panama et une vieille femme se souvient. Entraînés à plusieurs kilomètres des rivages par de violentes tempêtes de sable, ils ont également contaminé les populations alentour. Une partie de ce qui avait été gagné en volume et en superficie fut à nouveau perdu. Il peut se visiter depuis la ville de Nukus dans une journée. Sergueï Zavialov décèlerait un lien entre la hausse de la mer Caspienne et l’abaissement de la mer d’Aral[20]. Il y a 5000 ans, la mer d'Aral atteint sa plus grande extension, son niveau atteint l'altitude de 58-60 m et elle s'étend jusqu'au lac Sary Kamysh. Peut-être sur la zone ouzbèque. Le nombre d'espèces de poissons est passé de 32 à 6[19]. Ils ont provoqué une forte hausse du taux de mortalité infantile (parmi les plus élevés du monde aujourd'hui), une augmentation du nombre des cancers et des cas d’anémies, ainsi que le développement d'autres maladies respiratoires directement reliés à l’exposition à des produits chimiques, phénomènes confirmés par des études de l’OMS. Un collecteur, pour éviter l'évaporation et les pertes dans le sable, pourrait amener l'eau provenant du barrage de Kok-Aral vers le bassin ouest de la mer d'Aral, le plus profond et qui pourrait aussi être sauvé. Dans sa forme actuelle, la mer d'Aral est apparue il y a environ 10 000 ans. Les experts préviennent cependant que la surpêche pourrait défaire ce début de restauration[26]. En 50 ans, la mer d'Aral a perdu 90 % de son volume. Située entre la frontière du Kazakhstan et de l’Ouzbékistan, cette grande étendue d’eau s’est asséchée en moins de trente ans. Les eaux de la mer d'Aral se caractérisaient par une grande limpidité et un bleu intense, elles étaient peu salées (10 à 11 ‰ de taux de salinité moyen, 14 ‰ au sud-est). Allant dans ce sens, des analyses contradictoires sur la mort programmée pour 2025 de la mer d’Aral ont été publiées récemment[21]. La Chine prête à abandonner ses projets de construction de barrages sur sa dernière rivière sauvage ? Commencé dans les années 1980, ce programme n’a pu reprendre qu’en 2008, faute de financement. Dans les années 1960, la mer d'Aral, encore alimentée par les puissants fleuves Amou-Daria et Syr-Daria, formait la quatrième plus vaste étendue lacustre du monde, avec une superficie de 66 458 km2. Les expéditions scientifiques ont prouvé que cela avait été un site de production, d'essai et, plus tard, de fabrication d'armes pathogènes. À gauche, une image de la Mer d'Aral prise en 2000. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il reste environ « 4000 tonnes de poissons à pêcher chaque année contrairement à plusieurs centaines de milliers dans les années 1950 ». The North Aral Sea—once near death—is coming back to life, Assèchement des grands lacs et mers au XXe siècle. La mer d'Aral avait une superficie de 26 300 milles carrés et produit des milliers de tonnes de poisson pour l'économie locale chaque année. Une réduction était déjà notable par rapport à l'étendue de la Mer dans les années 1960 (ligne noire). La Mer d’Aral est une mer intérieure coincée entre deux pays d’Asie Centrale : le Kazakhstan au nord, et l’Ouzbékistan au sud. En URSS, un poisson pêché sur six provenait de ce lac salé. Ce maximum est lié à un climat plus chaud et plus humide ; les fleuves ont alors un débit trois fois plus élevé qu'au début du XXe siècle et apportent alors 150 km3 d'eau par an[12]. La vie renaquit autour de la mer, qui augmenta en volume et avança de plusieurs kilomètres; des roseaux, des renards, des rongeurs, des oiseaux ainsi que quelques espèces de poisson commencèrent à repeupler le bassin de la Petite mer. Le niveau des eaux a beaucoup varié au cours de l'histoire. La surface de la mer d'Aral était soumise à des oscillations de plus ou moins grande amplitude. Cet assèchement, dû au détournement des deux fleuves pour produire du coton en masse, est une des plus importantes catastrophes environnementales du XXe siècle. Ces eaux auxquelles viennent bientôt s'ajouter celle de l'Amou-Daria ne sont donc pas encore salées et la faune aquatique provient d'abord de ces fleuves. Quant à la population qui vit autour du lac, une grande partie s’exile. La mer d’Aral est-une mer qui a connu une crise majeure durant les années 80.Elle a connu une très forte diminution de l’eau qui a fortement bouleversé la biodiversité mais aussi les habitants vivant aux alentours de la mer d’Aral. Aujourd’hui, avec la diminution de la surface de la mer d’Aral, on ne compte désormais qu’environ 4 000 tonnes de poisson pêchées chaque année, contre plusieurs centaines de milliers dans les années 1950, et de nombreux villages ont été abandonnés. Malgré l’environnement désertique de ses alentours, la mer d’Aral procurait aux communautés côtières une importante source de pêche : en 1957, cette activité représentait une production de 48 000 tonnes de poissons, soit 13% de la pêche de l’URSS. 28 espèces de poissons ont disparu, tuées par les pesticides accumulées au fond du lac. Ces plantes ne sont pas seulement une aide contre l’érosion, elles jouent également un autre rôle essentiel : selon le professeur Zinovi Novitsk, elles permettent de réduire l’effet de serre. Nukus. En 2014, à la même période, le lobe sud a presque complètement disparu. Cette zone a résisté à l'assèchement et le rehaussement du barrage de Kok-Aral ainsi que la construction de nouvelles digues pourrait porter le niveau de cette petite mer à 50 mètres (projet de 86 millions de dollars financé par la Banque mondiale). Par contre, la petite mer d'Aral pourrait se renaturer (si les gouvernements du Kazakhstan et de l'Ouzbékistan agissent de concert et durablement). Pourquoi ? E-Journal de l’eau de l’UNESCO No. Le nombre d'espèces de poissons est passé de 32 à 6. Depuis 1960, la mer d'Aral a perdu 75 % de sa surface, 14 mètres de profondeur et 90 % de son volume[17], ce qui a augmenté sa salinité et la plupart des espèces endémiques ont disparu[18]. Le manque d'apport en eau assécha alors peu à peu la mer dont le niveau baissait de 20 à 60 cm par an. Elle est partagée entre le Kazakhstan au nord et l'Ouzbékistan au sud. Pour Chilo, académicien russe, ce sont les fonds des mers (Caspienne et Aral) qui seraient très friables... et un historien Bunyatov démontre que ce lac aurait déjà agonisé quatre fois au cours des siècles. De plus, les récoltes ont tué quasiment toute forme de vie. Le cours de l'Amou-Daria fut détourné voilà 400 ans (par les khans de Khiva car le fleuve charriait des sables aurifères) et ses eaux rejoignirent la mer d'Aral dont le niveau s'éleva. Au Kazakhstan, toutefois, le lac se porte de mieux en mieux. Dans les années 1960, la mer d'Aral, qui était encore alimentée par les puissants fleuves Amou-Daria et Syr-Daria, était la 4e étendue lacustre du … La grande mer d'Aral, qui fournissait autrefois des dizaines de milliers de tonnes de poissons par an, a très peu de chances de revoir le jour à cause de questions de salinité et de la pollution aiguë par les pesticides et parce que le détournement de rivières sibérienne n'est plus d'actualité. Ce gourou indien est parvenu à assainir les cours d'eau les plus pollués du monde, Environnement : l'eau se raréfie dans plusieurs régions du monde, Sénégal : la Venise africaine face à la montée des eaux, Politique de Confidentialite (Mise à jour). Depuis 1960, la mer d'Aral a perdu 75 % de sa surface, 14 mètres de profondeur et 90 % de son volume, ce qui a augmenté sa salinité et la plupart des espèces endémiques ont disparu. Son déclin actuel est un avertissement à prendre très au sérieux. La mer d’Aral, étendue d’eau autrefois grande comme le Portugal, est aujourd’hui un lac salé qui se dessèche au milieu d’un désert. N. V. Aladin, I. S. Plotnikov, R. Letolle. Auparavant, à l'époque glaciaire, une période particulièrement sèche, il n'y avait dans cette région que quelques marécages et étangs hypersalés[9], mis à part au plus fort des glaciations quaternaires lorsque les glaces de la mer de Kara bloquaient le cours de l'Ob et forçaient les eaux de la Sibérie occidentale à s'écouler vers la mer Caspienne en passant par le bassin de l'Aral[10]. Les fleuves Amou-Daria et Syr-Daria furent privés d'une partie de leurs eaux pour irriguer les cultures par plusieurs canaux dont celui de Karakoum. Ainsi à partir de 1960, entre 20 et 60 km3 d'eau douce furent détournés chaque année. La mer d'Aral est une ancienne mer asséchée située entre le Kazakhstan et l'Ouzbékistan. En règle générale, les poissons sont classés en fonction de caractéristiques telles que le genre, les espèces, etc. Son niveau est monté de six mètres depuis 2005, grâce au projet de restauration financé par la Banque Mondiale. Et pourtant, le fameux lac … Du temps où le père de Gamin Jaisanbaev était capitaine de bateau, il n’avait qu’à sortir de chez lui pour exercer son métier. Toutefois, cette profondeur était dissymétrique, la partie occidentale de la mer d'Aral (en rebord du plateau d'Oust-Ourt) voyaient les fonds descendre jusqu'à - 68 m alors que moins de 10 % de ces derniers dépassaient les - 10 m dans la partie orientale[13]. Ouzbekistan, Catastrophe de la Mer d'Aral. Les quantités gigantesques de pesticides qui, jadis, étaient charriées par les deux fleuves tributaires de la mer et se sont déposées au fond du bassin de l’Aral ainsi que le sel laissé par les eaux se retirant, se sont retrouvées, au fur et à mesure que l’évaporation progressait, à l’air libre en raison des vents violents. Les falaises du plateau d'Oust-Ourt sur la rive ouest. Objectif : transformer les steppes désertiques en champs de coton et de blé. En 2018 la navigation et même la pêche ont déjà repris au port d'Aralsk. Mais depuis les années 1960, il … Ce projet estimé à 120 millions de dollars (98 millions d'euros) serait financé principalement par les revenus du pétrole du Kazakhstan, il prévoit également le creusement d’un canal de jonction entre les deux bassins et la construction de nouvelles structures pour exploiter l’énergie hydroélectrique. En 2007, on constate que le niveau de la Petite mer d'Aral a remonté spectaculairement, plus vite que ne l'espéraient les experts chargés du dossier[7] et la pêche a repris depuis 2006[8]. Toutefois, de violentes tempêtes pouvaient provoquer des oscillations bien supérieures, en 1902 fut relevée une montée des eaux de 2,1 m. Il faut également noter la présence épisodique d'un courant circulaire provoqué par la conjugaison du vent et de l'arrivée des eaux de l'Amou-Daria et du Syr-Daria[13]. Les 28 espèces endémiques de la mer d’Aral ont disparu[réf. L'évolution a d'abord laissé présager la disparition totale de la seconde à l'horizon 2025, avant que des travaux d'aménagement ne soient opérés. Elle était autrefois couverte d'îles, faisait plus de 65 000 km² et pouvait atteindre 70 mètres de profondeur, étant donc une des plus grandes mers intérieures au monde. Sa survie à long terme n’est pas assurée, même dans la Petite mer. Six pays se partagent le bassin de la mer d’Aral : Kazakhstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Kirghizistan, Turkménistan et Afghanistan. C’est la même chose pour les ports, ils sont désormais à quelques kilomètres de la rive donc, il y a un réel impact au niveau économique. Grâce aux importants efforts de restauration de l’écosystème, les poissons sont de retour dans la partie nord de la mer d’Aral. Pour empêcher cet assèchement total, de multiples projets ont été évoqués : La construction du barrage de Kokaral, au sud de l’embouchure du fleuve Syr-Daria fut un premier succès. La moyenne de température de la saison hivernale est de -2°C, mais peut baisser jusqu’à -40°C. nécessaire]. Un fantôme parle de la vie après la mort. Jérôme Delafosse, Les larmes d'Aral, Robert Lafont. De nombreux conflits et des tensions ont vus le jour. Moʻynoq. Malheureusement, une tempête violente détruisit cette digue fragile en 1999. Avant la construction du barrage de Kokaral, le maire de la ville d'Aralsk, Alachibaï Baïmirzaev avait décidé de faire construire en 1995 une digue de vingt-deux kilomètres constituée de sable et de roseaux. Cette digue en béton construite dans la partie nord de l'ancienne mer d'Aral, à l'est de l'île de Kokaral, mesure 13 km de long pour une hauteur de 10 m à une altitude de + 42 m. Selon structurae.info3 le barrage digue a été construit uniquement avec du béton en 2005, depuis le niveau de la Petite Aral a augmenté d´au moins 12 mètres passant de moins de 30 mètres à 42 mètres en 2009. En 1960, les Soviétiques ont décidé de cultiver les vastes steppes du Kazakhstan et de l’Ouzbékistan. Le Turkménistan préfère utiliser les eaux de l'Amou Daria pour l'irrigation, ainsi que le remplissage du lac de l'âge d'or (ou lac de Karakum) et du lac Sary Kamysh, deux lacs plus petits et en pleine expansion qui d'une certaine manière tendraient à remplacer la Grande Aral, plus difficile à alimenter parce que plus grande et que les eaux s'infiltrent et se perdent dans les sables du désert. Par conséquent, autour du lac, une grande partie de la population a fini par s'exiler. Aujourd’hui, avec la diminution de la surface de la mer d’Aral, on ne compte désormais qu’environ 4 000 tonnes de poisson pêchées chaque année. La mer d’Aral est en fait… un lac. La mer d'Aral est un lac d'eau salée d'Asie centrale situé entre 43° et 47° de latitude nord et entre 58° et 62° de longitude est, occupant la partie basse de la dépression touranienne ou aralo-caspienne au milieu d'espaces désertiques. En août 2005 s'est achevée la construction de la digue de Kokaral qui sépare la petite partie nord de la mer d'Aral au Kazakhstan, la Petite mer d'Aral, du reste de la dépression, la préservant ainsi de l'assèchement[7]. Le bassin hydrographique de la mer d'Aral, correspondant essentiellement aux bassins de ces deux grands fleuves tributaires : l'Amou-Daria et le Syr-Daria, couvre une superficie de 1 549 000 km2 (549 000 km2 de terres cultivables dont 78 956 sont irriguées). En 2000, cette superficie était divisée par deux. La Banque mondiale a décidé de financer la construction de la digue en béton de Kokaral ainsi qu’une série de digues secondaires en vue d’éliminer l’excès de sel par des déversoirs et de faire remonter le niveau de l’eau. Longue de 428 km, large de 284 km, elle se localisait dans une des parties les plus basses de la dépression touranienne affaissée depuis la fin de l'ère tertiaire (pliocène supérieur) par les mouvements alpins qui ont affecté l'Asie moyenne. De nombreuses villes prospéraient autour de ses rivages, notamment grâce à la pêche. * En 2011, l’Ouzbékistan était toujours le deuxième exportateur mondial de coton.
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